
Questions flash – La médecine 5 P
Faut-il élargir la vaccination anti-méningococcique ?
La question à cette réponse est indiscutablement OUI. Les raisons en sont multiples.
Faut-il élargir la vaccination anti-méningococcique ?
La question à cette réponse est indiscutablement OUI. Les raisons en sont multiples.
Les récents progrès concernant les outils de génétique ont permis de grandes avancées, à la fois concernant le diagnostic des personnes atteintes de maladies génétiques, mais également des connaissances sur l’implication grandissante des causes génétiques de différentes portes d’entrée cliniques (surdité, cardiomyopathie hypertrophique, insuffisance rénale chronique, auto-immunité). Ces récent progrès ont également permis de proposer ces examens à un plus grand nombre de personnes en comparaison aux techniques plus anciennes.
La Communication nonViolente (CNV) est un processus développé par Marshall Rosenberg, psychologue clinicien (1934-2015). Inspiré par Gandhi et élève de Carl Rogers, il met en lumière les pièges de la communication que nous pratiquons habituellement, et des pistes pour faire différemment.
Le nirsevimab est un anticorps monoclonal ciblant le VRS, bénéficiant d’une demi-vie prolongée comparée au palivizumab, qui était, jusqu’à ce jour, le seul traitement préventif disponible contre les infections à VRS.
Plusieurs essais contrôlés randomisés de phase III ont démontré l’efficacité du nirsevimab dans la prévention des infections respiratoires basses à VRS, permettant une autorisation récente par l’agence européenne du médicament [1-3]. Dans ce contexte, la France a été l’un des tous premiers pays au monde, avec l’Espagne, le Luxembourg et les États-Unis, à implémenter le nirsevimab en septembre 2023. Malgré des tensions d’approvisionnement, plus de 250 000 doses ont pu être délivrées durant cet hiver 2023-2024, faisant de la France le pays à avoir administré le plus de doses au monde à ce jour.