- Prévention des allergies alimentaires : l’exemple de l’arachide
- Peut-on appliquer les résultats de l’étude LEAP à tous les aliments et à tous les nourrissons ?
- Quelle est la gestion optimale d’une allergie à l’arachide ?
- Extension de ces réflexions à l’immunothérapie orale aux aliments autres que l’arachide ?
- Fréquence de l’association d’une allergie au sésame et à d’autres noix d’arbres prouvée par les tests de provocation
- Le syndrome d’activation mastocytaire : une nécessaire clarification
- Brèves
- 1. L’introduction précoce entre 1 et 2 mois d’une préparation à base de lait de vache prévient l’APLV [32]
- 2. Caractéristiques des réadmissions à l’hôpital pour les enfants atteints d’anaphylaxies par allergie alimentaire
- 3. GINA 2019 chez les enfants et les adolescents [35]
- 4. Gestion de l’allergie aux fruits de mer [36]
- 5. Anaphylaxies et adrénaline
L’année 2020 a été marquée par de nombreuses acquisitions qui, pour certaines, soulèvent presque autant d’interrogations. Elles portent d’abord sur les allergies alimentaires et, par voie de conséquence, l’alimentation du nourrisson et l’immunothérapie par voie orale, ainsi que l’anaphylaxie, la dermatite atopique (DA) et l’asthme. Cette revue, basée sur les choix de l’auteur, ne peut prétendre à l’exhaustivité. Elle se termine par quelques notes, courtes pour la plupart.
Prévention des allergies alimentaires : l’exemple de l’arachide
La plupart des auteurs reconnaissent[...]
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