Quelques jours après les meurtres de jeunes militaires sauvagement “abattus », j’apprends l’horrible nouvelle du massacre d’enfants juifs dans une école de Toulouse. Elles impriment en moi la révolte douloureusement indignée que m’inspire la contemplation des fresques murales du “massacre des innocents”.
“Ceux qui ne pouvaient ni se cacher, ni se taire, à l’âge où l’on n’a pas appris à craindre”.
L’historicité de l’événement a pu être mise en doute… Sa vérité s’inscrit, hélas, dans la perpétuité des agressions aveugles dont sont victimes, chaque jour, tous les enfants du monde… sous le regard des mères d’assassins[...]
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire