Le larmoiement est un motif très fréquent de consultation en pédiatrie comme en ophtalmologie.
La High Tech médicale n’a pas bouleversé la lacrymologie qui reste une discipline clinique. Rien ne remplace l’inspection, l’interrogatoire des parents et le sens clinique. Le recours au biomicroscope avec les tests aux colorants et à l’exploration instrumentale (Anel, 1848) n’arrive qu’au deuxième plan. La place de l’imagerie est très rare. L’endoscopie canaliculaire n’est encore qu’un espoir car la technologie et la qualité des fibres optiques autoclavables ne sont pas encore au rendez-vous. La photo-ablation (Laser) n’apporte aucun bénéfice pour le patient, car à l’inverse de la cornée, les voies lacrymales sont très vascularisées.
Comme nous le verrons tout au long de ce dossier de Réalités Pédiatriques, on peut faire beaucoup (pour ne pas dire presque tout) en gardant à l’esprit quelques notions clinique simples et de bon[...]
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