- Omicron : le(s) variant(s) qui change (nt) la donne
- Le retour des autres infections quand on ne les attendait pas…
- De nouvelles alertes sanitaires
- Un retard vaccinal historique à l’échelle mondiale et la résurgence de “vieilles infections”
- De nouvelles recommandations vaccinales
- Un espoir pour la lutte anti VRS
Cette année encore, la COVID a occupé une place importante dans l’actualité avec un variant Omicron beaucoup plus contagieux qui a changé la donne en termes de nombre de cas pédiatriques et une campagne vaccinale pour les 5-11 ans qui n’a pas eu le succès escompté. En parallèle, les autres infections “classiques” de l’enfance sont revenues en force.
D’autres alertes ont également occupé la scène avec une recrudescence d’hépatites sévères (non ABCDE) ainsi que l’observation de cas de variole du singe en dehors des zones habituelles à l’échelon international ou encore une épidémie de SHU (Syndrome hémolytique et urémique) en France.
Du côté des vaccinations, un retard vaccinal majeur à l’échelon mondial a permis la recrudescence de cas de rougeole, diphtérie et de poliomyélite.
En France, une augmentation des cas d’infections invasives à Haemophilus influenzae amorcée depuis 2018 se confirme.
La vaccination anti-méningococcique B est apparue au calendrier vaccinal après une recommandation en 2021 ainsi que la vaccination anti coqueluche des femmes enceintes.
La vaccination anti rotavirus a fait l’objet d’une nouvelle recommandation après une suspension qui datait de 2015.
Enfin des études prometteuses concernant un anticorps monoclonal à longue demi-vie anti VRS laissent espérer la diminution du fléau annuel des infections à VRS des nourrissons sur le système de soin.
Omicron : le(s) variant(s) qui change (nt) la donne
La très forte contagiosité du variant Omicron BA.1 (et plus généralement des variants Omicron) a été à l’origine d’une importante vague pédiatrique avec un nombre plus important d’hospitalisations [1]. Cependant, une partie de ces enfants étaient hospitalisés pour une cause et dépistés positif au SARS-CoV-2 du fait d’une politique de test systématique.
Cette vague d’hospitalisations[...]
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire