- Un problème de santé publique
- 1. Le diagnostic est avant tout clinique
- 2. La prise en charge est forcément multimodale
- La mise en route du méthylphénidate
- 1. Une nouveauté
- 2. Pour qui ?
- 3. Pour quoi ?
- 4. Avec un effet on-off
- 5. Quelles précautions avant une primoprescription ?
- 6. Quel bilan complémentaire ?
- 7. Une prescription toujours encadrée
- Une seule molécule, différentes formes
- Un schéma thérapeutique bien défini
- Une surveillance régulière et indispensable
- Des effets secondaires rares
- Jusqu’à quand ?
- 1. Une durée du traitement spécifique à chaque enfant
- 2. Et à l’âge l’adulte ?
- Conclusion
Traiter l’enfant agité a longtemps été une source de polémiques peu constructives et délétères pour les familles. Ces conflits d’un autre siècle ont fait place à des attitudes médicales plus responsables, rigoureuses et concertées. Le trouble déficit d’attention, avec ou sans hyperactivité (TDA/H), est maintenant bien connu, et surtout reconnu ! En février 2015, la Haute autorité de santé (HAS) décrit le TDA/H comme une pathologie à part entière [1]. Les recommandations incitent à sensibiliser les médecins de premier recours aux caractéristiques du trouble afin de mettre rapidement en place des prises en charge adaptées. Si les modalités de prescription ont récemment évolué, une règle reste inchangée : la solution médicamenteuse ne doit jamais survenir en première intention.
Un problème de santé publique
L’enjeu reste capital. Les conséquences d’un TDA/H[...]
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