Le bon médecin traite la maladie. Le grand médecin traite la personne qui a la maladie” (Citation d’Osler).
Dans un livre paru récemment Pour une médecine humaine. Étude philosophique d’une rencontre, Gérard Reach 1 transmet ses inquiétudes à propos d’une médecine qui, confrontée à la multiplication de techniques nouvelles d’examens dont les résultats ne seraient pas “accompagnés”, pourrait perdre de son humanité.
Par une approche philosophique, l’auteur souligne l’impérieuse nécessité que puisse survivre une médecine de la rencontre d’un patient en quête de sollicitude et d’un médecin qui, soutenu par la multiplicité d’examens de recours, serait enclin à une forme d’inertie clinique.
La technologie apporte certes des informations de plus en plus précises, mais ce ne sont bien souvent que des informations. Rien ne peut remplacer le lien fondamentalement thérapeutique[...]
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