On ne meurt pas, si… ?
L’enfant qui observait un oiseau blessé avait dit à sa mère : “Pourquoi il va mourir ?”
Celle-ci lui avait répondu : “Parce qu’il doit être vieux, et que tout le monde meurt…”
Il s’était alors inquiété : “Mais nous, on ne meurt pas, si… ?”*
Peut-on demeurer fidèles à nos engagements à rassurer les enfants (ne t’inquiète pas…) sans risquer d’apporter de l’ambiguïté dans les réponses à ces “interrogations qui les font grandir” ?
Quoi de neuf en gastroentérologie pédiatrique ?
Pour apporter un peu d’originalité à cette revue des actualités…
Quoi de neuf en allergologie pédiatrique ?
L’année 2017 a été marquée par plusieurs avancées concernant le…
Quoi de neuf en nutrition pédiatrique ?
Les publications de 2017 n’ont pas bouleversé les connaissances en…
Quoi de neuf en vaccinologie et infectiologie ?
L’année 2017 a été particulièrement riche dans les domaines de…
Quoi de neuf en ORL pédiatrique ?
La chirurgie robotisée en pédiatrie Jusqu’à cette année, aucun hôpital…
Lire, Écrire, Compter Et Respecter
Notre ministre de l’Éducation nationale a adjoint au triple objectif…
Hommage à Philippe Reinert
En écrivant ces quelques lignes à la mémoire de Philippe,…
Intoxication accidentelle au cannabis chez le jeune enfant : état des lieux en France
Claudet I et al. Unintentional cannabis intoxication in todders. Pediatrics,…
Fonction respiratoire à 8 ans des anciens grands prématurés
Doyle L et al. Ventilation in extremely preterm infants and…
Maladies génétiques à début pédiatrique : maladie de Rendu-Osler
La maladie de Rendu-Osler peut être diagnostiquée précocement grâce à une étude génétique familiale. Les mutations sont responsables de l’apparition de malformations artério-veineuses (MAV). Le dépistage et le bilan sont réalisés dans le cadre d’une consultation pluridisciplinaire réunissant généticien, dermatologue, otorhinolaryngologiste, pneumologue, gastroentérologue, pédiatre, cardiologue, radiologue et neuroradiologue.
L’atteinte cutanéomuqueuse invalidante chez l’adulte en raison des épistaxis n’est pas au premier plan chez l’enfant. Les atteintes pulmonaires et cérébrales peuvent être sévères et inaugurales. La connaissance du diagnostic permet la surveillance des patients et la prévention des complications. Le traitement des lésions, non systématique, repose sur la radiologie interventionnelle ou la chirurgie.