La lumière est noire, m’a confié, à la fin de l’année dernière, une petite fille songeuse et triste.
Peut-être avait-elle émotionnellement absorbé des ciels désespérément gris, des signes d’inquiétude de sa famille, des témoignages de lassitude de son environnement scolaire. La réflexion m’a cependant inquiété, même si ce signe de tristesse devait se dissiper un peu avec le sourire revenu chez l’enfant quand j’avais évoqué pour elle la proximité des fêtes de fin d’année.
Une lumière noire.
J’aurais voulu, petite fille, à l’instant même de ta confidence, te donner la force et la douceur mêlées de ces lumières, qui ouvrent vers des horizons incertains, des perfections imaginaires…
J’aurais voulu te transmettre la lumière[...]
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