- Agent pathogène [1-3]
- Transmission [4]
- Pathogénie [3]
- Maladie [2, 7, 8]
- Épidémiologie
- 1. En France
- 2. Données européennes (ECDC, OMS Europe)
- 3. Données mondiales [17]
- Diagnostic en France
- Surveillance biologique chez les femmes enceintes
- Traitement
- Vaccin
- Tolérance aux vaccins contre la rubéole en France
- Immunogénicité [1, 7]
- Plan mondial d’élimination conjointe de la rougeole et de la rubéole
- 1. L’application du plan mondial à l’Europe
- 2. Comment réussir l’élimination de la rubéole (et du SRC) dans le monde ? [8, 34]
- Conclusion
Agent pathogène [1-3]
Hiro et Tasaka ont démontré la nature virale de la rubéole en 1938. Le virus a été cultivé avec succès sur culture tissulaire en 1962 par différents groupes américains à Boston et à Washington. Le virus de la rubéole appartient au genre des Rubivirus et à la famille des Togaviridae. Son génome, constitué d’ARN simple brin de polarité positive, code 2 protéines non structurelles et 3 protéines de structure. Il est enfermé dans une capside lipidique icosaédrique.
En 2005, selon la nomenclature systématique adoptée pour les génotypes des virus rubéoleux sauvages, ceux-ci sont divisés en 2 groupes phylogénétiques majeurs, le clade 1 et le clade 2, ayant une différence de 8 à 10 % au niveau des nucléotides. Actuellement, 3 génotypes (1E, 1G, 2B) parmi les 13 reconnus ont une large distribution géographique. Le séquençage du gène E1 du virus de la rubéole a identifié 2 génotypes : le génotype I prédomine dans les Amériques, l’Europe, la Russie et le Japon ; le génotype II est limité à l’Asie et l’Europe.[...]
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