Archives mensuelles : avril, 2012

Bourse
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Aujourd’hui, l’insuffisance cardiaque représente un véritable problème de santé publique. Au stade terminal, le seul traitement efficace reste la greffe. Or, chaque année, le nombre de greffons disponibles est largement insuffisant eu égard au nombre de patients en attente de transplantation.

Gestion
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Vous nous interrogez souvent sur la préparation de votre retraite, et parfois sur les conséquences de votre cessation d’activité. Or, ces deux étapes de la vie sont intimement liées et très importantes au point qu’elles doivent impérativement faire l’objet d’une étude sur le plan fiscal, social, et patrimonial afin de simuler, budgéter et prévoir !

Revues générales
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La migraine est la céphalée primaire la plus fréquente en pédiatrie avec une prévalence estimée entre 5 et 10 %.
Son diagnostic, clinique, est effectué à l’aide des critères de l’International Headache Society (IHS) révisés pour l’enfant en 2004. Les facteurs déclenchants sont multiples et sont dominés par les stimuli émotionnels. La présence d’une aura est retrouvée dans à peu près 25 % des cas et doit être systématiquement recherchée. L’association des migraines avec des céphalées de tension est fréquente. La sémiologie clinique de chaque entité doit être expliquée aux patients, leur prise en charge thérapeutique étant radicalement différente. Les explorations complémentaires sont le plus souvent inutiles en cas de tableau migraineux typique et d’examen clinique normal.
La prise en charge thérapeutique s’effectue selon les recommandations de l’Afssaps de 2009. Elle débute par une hygiène de vie correcte avec éviction des facteurs déclenchants. Le traitement des crises migraineuses est systématique et doit être effectué d’emblée à bonne posologie et le plus rapidement possible.

Revues générales
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Les pollens constituent le deuxième pneumallergène responsable d’allergies dans les régions tempérées. Si, le plus souvent, les pollinoses ne sont pas des affections très sévères, certaines d’entre elles peuvent se compliquer d’asthme aigu grave.
Toutefois, chez de nombreux patients, les pollinoses altèrent la qualité de vie (rhinites sévères) en impactant la vie familiale, les performances scolaires, les activités physiques et récréatives.
Si la pollinose résiste au traitement symptomatique cosaisonnier (antihistaminiques-H1 oraux ou intra-nasaux ou intra-oculaires, corticoïdes intra-nasaux) ou s’aggrave d’une année sur l’autre, l’immunothérapie, le plus souvent sublinguale, est indiquée. Elle dure en moyenne 3 ans. Cet abécédaire passe en revue les différents points-clés de cette affection qui peut débuter, dans 1 cas sur 10, avant l’âge de 2 ou 3 ans.