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On ne meurt pas, si… ?

L’enfant qui observait un oiseau blessé avait dit à sa mère : “Pourquoi il va mourir ?”

Celle-ci lui avait répondu : “Parce qu’il doit être vieux, et que tout le monde meurt…”
Il s’était alors inquiété : “Mais nous, on ne meurt pas, si… ?”*

Peut-on demeurer fidèles à nos engagements à rassurer les enfants (ne t’inquiète pas…) sans risquer d’apporter de l’ambiguïté dans les réponses à ces “interrogations qui les font grandir” ?

Dossier : Larmoiements de l'enfant
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L’imperméabilité lacrymonasale se manifeste par un larmoiement associé à des sécrétions. Ces pseudo-conjonctivites sont accentuées au moment des rhumes. Les symptômes sont identiques, quelle que soit la variété d’obstacle lacrymonasal. Tous les intermédiaires existent entre des obstacles avec participation osseuse et un simple “voile” muqueux lacrymonasal. L’imperforation muqueuse de la valve lacrymonasale représente 90 % des obstacles.
La thérapeutique dépend autant de l’âge de l’enfant que de la nature de la sténose. Schématiquement, dès le 3e-6e mois : sondage lacrymal ; au-delà de 12-16 mois : intubation lacrymonasale.

Dossier : Larmoiements de l'enfant
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Le larmoiement est une production excessive de larmes en dehors du pleurer relationnel (rire, chagrin, etc.) qui est physiologique. L’épiphora décrit préférentiellement le débordement des larmes sur la joue. Un larmoiement aigu impose une consultation en urgence s’il s’accompagne de signes de gravité comme une photophobie, un cercle périkératique, une exophtalmie ou un syndrome infectieux avec altération de l’état général. Un larmoiement accompagné de sécrétions nécessite une consultation ophtalmologique, sans urgence, pour poser un diagnostic et envisager une stratégie thérapeutique. Les larmoiements “clairs” sont le plus souvent le fait de pathologies canaliculaires, et donc dépourvus de risque infectieux.

Billet du mois
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Les enseignants de notre faculté, vêtus de leur robe professorale,…