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On ne meurt pas, si… ?

L’enfant qui observait un oiseau blessé avait dit à sa mère : “Pourquoi il va mourir ?”

Celle-ci lui avait répondu : “Parce qu’il doit être vieux, et que tout le monde meurt…”
Il s’était alors inquiété : “Mais nous, on ne meurt pas, si… ?”*

Peut-on demeurer fidèles à nos engagements à rassurer les enfants (ne t’inquiète pas…) sans risquer d’apporter de l’ambiguïté dans les réponses à ces “interrogations qui les font grandir” ?

Revues générales
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Les onychopathies de l’enfant sont le plus souvent des affections bénignes, suscitant l’inquiétude des parents. Beaucoup d’entre elles vont régresser avec l’âge, et ce d’autant qu’elles surviennent tôt dans la petite enfance.
Les indications chirurgicales sont rares, et devront être pesées avec soin compte tenu du risque cica-triciel important.
Toute dermatose périunguéale retentira assez rapidement sur la matrice sous-jacente et pourra con-tribuer à altérer la régularité de celle-ci.

Dossier : Dépistage au cabinet
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Plus de 93 % de l’activité pédiatrique libérale est régie par la Nomenclature générale des actes pro-fessionnels (NGAP). Au fur et à mesure des négociations conventionnelles, de nombreuses majora-tions ont été créées qui ne peuvent se cumuler avec la consultation, mais cela n’a pas suffi à revalo-riser notre profession. Nous sommes toujours en attente de la ROSP pédiatrique et d’une CCAM cli-nique, promises depuis 13 ans, mettant en place une hiérarchisation des consultations, valorisant nos examens aux âges clé, de dépistage, nos consultations longues et qui donnera enfin aux pédiatres les moyens financiers de mieux équiper leurs cabinets.
La Classification commune des actes médicaux (CCAM), à visée diagnostique et/ou thérapeutique, est sous-utilisée par les pédiatres et ne concerne que 7 % de notre activité. Il faut donc en faire la promotion, former les pédiatres dès leur internat à leur utilisation et leur codage, et surtout créer des actes spécifiques supplémentaires.

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