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On ne meurt pas, si… ?

L’enfant qui observait un oiseau blessé avait dit à sa mère : “Pourquoi il va mourir ?”

Celle-ci lui avait répondu : “Parce qu’il doit être vieux, et que tout le monde meurt…”
Il s’était alors inquiété : “Mais nous, on ne meurt pas, si… ?”*

Peut-on demeurer fidèles à nos engagements à rassurer les enfants (ne t’inquiète pas…) sans risquer d’apporter de l’ambiguïté dans les réponses à ces “interrogations qui les font grandir” ?

Revues générales
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La peau du nouveau-né est l’objet de toutes les attentions des parents (et plus particulièrement des mères), mais aussi des industriels qui sont bien conscients des attentes en termes de sécurité et d’efficacité des produits qu’ils vont utiliser.
Mis à part le problème spécifique des grands prématurés, les soins d’hygiène cutanée relèvent de simples principes de bon sens : produits utilisés non toxiques, peu ou pas irritants et efficaces.
L’hygiène, à cet âge, doit être soigneuse mais sans excès, car une hygiène excessive, plus encore que chez l’adulte, peut perturber l’homéostasie cutanée, favoriser l’apparition de dermatoses irritatives et aggraver une pathologie dermatologique sous-jacente (dermatite atopique ou ichtyose vulgaire). Cette attitude raisonnable et logique vis-à-vis de l’hygiène cutanée du nouveau-né est, malgré tout, parfois en contradiction avec le désir parental d’une peau parfaite.