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Et ce mot est…

“Enseigner les enfants. La méthode ne suffit pas s’il lui manque quelque chose”, écrit Daniel Pennac* :
– C’est un gros mot ?
– Pire qu’“empathie” ?
– Sans comparaison. Un mot que tu ne peux absolument pas prononcer dans une école, un lycée, une fac ou tout ce qui y ressemble.
– Si tu sors ce mot en parlant d’instruction, tu te fais lyncher. 
– …
– Et ce mot est ?
– L’Amour.”

Patrimoine
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Compte tenu de l’envolée des différents prélèvements obligatoires, vous vous interrogez sur les solutions permettant de réduire vos impôts en 2013. Que faut-il penser de la nouvelle loi ?
La loi Duflot doit s’appliquer du 1/1/2013 au 31/12/2016. Comme la précédente loi Scellier, elle concerne les logements acquis en direct ou dans le cadre d’une société civile immobilière et les parts de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier) souscrites pour financer des logements éligibles.

Billet du mois
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L’empathie met en jeu plusieurs mécanismes complémentaires*: la résonnance affective,…

Revues générales
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Le tympan est la vitrine de l’oreille moyenne. Son examen permet d’apporter un diagnostic lésionnel à une symptomatologie otologique. Malgré sa relative petite taille, la sémiologie le concernant est riche. L’otoscopie doit donc être rigoureuse et méthodique, afin d’établir un diagnostic précis menant si besoin à une prise en charge spécialisée.

Revues générales
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Les syndromes de prédisposition aux cancers de l’enfant sont au nombre d’une quarantaine. Cependant, ils sont rares et seraient impliqués dans une proportion estimée de 1 à 10 % des cancers de l’enfant. Il faut les rechercher dans 3 types de situation : une présentation atypique d’un cancer pédiatrique (localisations multiples, type histologique inhabituel) ; un contexte malformatif ou syndromique ; identification de plusieurs cas de cancers précoces chez les apparentés.
Le risque de développer un cancer chez un enfant présentant un syndrome de prédisposition varie selon l’anomalie génétique identifiée. L’objectif est de réduire la mortalité liée au cancer grâce un dépistage précoce. La surveillance lorsqu’elle est décidée est essentiellement clinique et parfois radiologique ou biologique. Idéalement, elle pourra être assurée au moins partiellement par le pédiatre traitant de l’enfant, selon les recommandations établies par l’oncologue pédiatre ou le généticien.